Passer au contenu

/ École de criminologie

Je donne

Rechercher

Nos diplômés - Portraits

Parcourez le portrait de quelques diplômés, question de vous donner une idée des possibilités après vos études.

Marie-Ève Diotte

Coordonnatrice — Analyse et renseignement, Service de police de l’agglomération de Longueuil (SPAL)

Lorsque Marie-Ève Diotte s’inscrit au baccalauréat en sécurité et études policières en 2001, elle est loin de se douter que ce nouveau programme la mènera au poste de gestionnaire qu’elle occupe présentement. Quand elle commence à travailler dans le milieu policier, les sentiers sont peu défrichés. Marie-Ève se relève les manches et fonce tête première dans ce défi. Bien épaulée, elle a contribué à changer les méthodes d’analyse et de renseignements criminels au sein du service de police de Longueuil. Depuis lors, son équipe a beaucoup grandi et, grâce à son travail, et à celui d’autres prédécesseurs, le métier d’analyste civile est reconnu de nos jours.

Melissa McDonald

Maîtrise en criminologie, chef du service de criminologie, Institut Philippe-Pinel de Montréal

« Ce qui me stimule avant tout, c’est de contribuer à faire une différence dans la vie des gens et d’être témoin de leur progrès. »

Masarah Paquet-Clouston

Maîtrise en criminologie, chercheure en cybersécurité, GoSecure

« Il y a des opportunités à l’École de criminologie; il faut savoir les saisir, mais aussi capitaliser sur celles-ci afin d’en créer des nouvelles, qui répondront davantage à vos besoins en tant qu’étudiant(e)s et futur(e)s professionnel(le)s. »

Julie Paquin

Maîtrise en criminologie, directrice adjointe de l’analyse, Commission d’enquête sur l’octroi et la gestion des contrats publics dans l’industrie de la construction

« Il faut croire en l’efficacité des outils d’analyse développés au cours de notre formation. Ils ont toute leur place sur le marché du travail, y compris, et peut-être surtout, au sein de milieux atypiques pour les criminologues. »

Katia Petit

Sous-ministre associée à la sécurité civile et à la sécurité incendie au MSP

Une femme dévouée au service de la sécurité publique

Katia Petit se distingue dès le début de sa carrière, grâce à sa détermination et sa confiance. Saisissant les occasions présentes, elle fait son entrée au ministère de la Sécurité publique du Québec (MSP) en tant qu’analyste et agente de recherche en matière de lutte contre le crime organisé et de sécurité de l’État. Animée par sa passion du métier, elle se fraye un chemin, si bien que quatre ans plus tard, elle occupe déjà un poste de cheffe d’équipe à la Direction de la sécurité de l’État. Dans ses diverses fonctions, elle a même contribué à créer de nouvelles législations et participé à la gestion de situations de crises. Lumière sur son parcours inspirant.

 

Yann-Cédric Quéro

Doctorat en criminologie, expert sénior chez SeGoStrategy

Priorisez ce que vous avez envie de faire – vous ne pouvez pas être bon à ce que vous n’avez pas envie de faire. Éclatez-vous et ne travaillez jamais par dépit !

Marie-Claire Saunders

Maîtrise en criminologie, Analyste en renseignement, Unité permanente anticorruption (UPAC)

« Il ne faut pas trop vous stresser avec votre sujet de recherche. Vous n’êtes pas obligés de choisir votre future carrière dès le début de votre maîtrise. Si c’est quelque chose que vous aimez, allez-y : faites ce qui vous intéresse ! Les contacts que vous développerez auprès de vos collègues et des professeurs de l’École vous mèneront loin. »

Hélène Simon

Maîtrise en criminologie, directrice des programmes, Direction générale adjointe aux programmes, à la sécurité et à l’administration, Direction générale des Services correctionnels du Québec

« L'obtention d'une maîtrise en criminologie m'a permis d'occuper des emplois de nature plus stratégique, faisant appel à mes capacités de recherche, incluant la rigueur intellectuelle exigée par cette formation de deuxième cycle. »