Experts en : Usage des médicaments psychotropes en institution
BROCHU, Serge
Professeur émérite
- Criminalité
- Délinquance
- Toxicomanie
- Violence
- Consommation de substances psychoactives
- Trajectoire de vie
- Trajectoires déviantes
- Évaluation de programme
- Traitement
- Usage des médicaments psychotropes en institution
Spécialiste du contrôle social et judiciaire de la toxicomanie, Serge Brochu a fondé en 1991 le groupe de recherche et d’intervention sur les substances psychoactives-Québec (RISQ) dont il a assumé la direction scientifique durant 21 ans. Les études des chercheurs du RISQ se font toujours en partenariat étroit avec les divers milieux de pratique qui accueillent des toxicomanes ou des personnes à risque de le devenir.
Serge Brochu dirige actuellement sa 2e Alliance de recherche université-communauté (ARUC) en carrière. La première (2000 à 2005) portait sur l’amélioration des services à offrir aux personnes toxicomanes, la seconde (2009 à 2015) s'intéresse aux problèmes d’intégration des services offerts aux personnes dépendantes. L'équipe s'affaire à mieux connaître les réseaux de traitement en toxicomanie au Québec pour faciliter la prestation de services intégrés.
LAFORTUNE, Denis
Professeur titulaire
- Adolescents auteurs d'agression sexuelle
- Délinquance et troubles mentaux
- Délinquance juvénile
- Usage des médicaments psychotropes en institution
Mon programme de recherche s’organise autour de cinq volets. Je m’intéresse tout d’abord au portrait et aux trajectoires d'adolescents auteurs d’infraction, en général et auteurs d’infractions violentes et sexuelles, en particulier. Le deuxième axe de mes travaux concerne les usages de médicaments psychotropes auprès des adolescents et adultes placés en institution, ainsi que l’observance des prescriptions par les personnes concernées. La troisième partie porte sur les adultes incarcérés qui souffrent de problèmes de santé mentale, ainsi que sur les interventions réalisées auprès d’eux. Je m’intéresse aussi aux prises en charge en milieu institutionnel des troubles sévères du comportement, notamment sous l’angle de l’encadrement intensif et de l’ensemble des mesures restrictives de liberté. Enfin, plus récemment, j’ai aussi commencé à étudier la mentalisation et les stratégies de coping comme étant de possibles facteurs de modération de la relation entre la maltraitance et la manifestation de troubles du comportement.