Experts en : Nouvelles technologies
AMICELLE, Anthony
Professeur associé
- Sociologie de l'action publique
- Délinquance économique et financière
- Régulation financière internationale
- Nouvelles technologies
- Mégadonnées
- Policing
- Études de sécurité
- Études de surveillance
- Partenariats publics-privés en sécurité
- Risque
- Union européenne
- Impact des technologies sur la sécurité
- Blanchiment
- Technologies de l'information
- Renseignement
Ses recherches s’inscrivent dans une réflexion d’ensemble sur les relations d’interdépendance entre les enjeux de sécurité intérieure et internationale et ceux relevant traditionnellement de l’économie et de la finance. Dans un contexte international marqué par la répétition des scandales de corruption et d’évasion fiscale ainsi que par la prégnance des questions de terrorisme, de son financement et du blanchiment d’« argent sale » en général, ses travaux portent notamment sur les politiques contre la délinquance économique et financière. À la lumière du policing des flux financiers, il étudie également les usages des nouvelles technologies et des algorithmes développés et promus pour gérer les tensions existantes entre les enjeux de sécurité internationale et de mobilités transnationales.
GUAY, Jean-Pierre
Professeur titulaire
- Mesure des phénomènes criminels
- Évaluation du risque de récidive
- Psychopathie
- Délinquance sexuelle
- Gangs de rue
- Évaluation
- Récidive
- Gestion du risque
- Risque
- Délinquance
- Délinquance adulte
- Délinquance violente
- Théories de la délinquance
- Agression sexuelle
- Meurtriers sexuels
- Crime organisé
- Recherches évaluatives
- Traitement des criminels violents
- Violence
- Violeurs
- Nouvelles technologies
- Adolescents auteurs d'agression sexuelle
Jean-Pierre Guay, Ph. D., est professeur titulaire à l’École de criminologie de l’Université de Montréal, chercheur titulaire à l’Institut national de psychiatrie légale Philippe-Pinel, chercheur au Centre International de Criminologie Comparée et responsable scientifique de Forensia. Il enseigne les questions d’évaluation du risque, la recherche évaluative et la statistique à l’École de criminologie de l’Université de Montréal. Ses travaux de recherche portent sur l’évaluation du risque de récidive, la psychopathie et l’hétérogénéité des délinquants sexuels et violents. Il mène actuellement des travaux sur l’utilisation de l’intelligence artificielle en délinquance. Depuis plus de quinze ans, il est formateur à divers instruments d’évaluation du risque tant auprès des adolescents (YLS/CMI, J-SOAP-II, SAPROF-YV) que des adultes (LS/CMI, SAPROF), et autant pour des instruments actuariels que basés sur le jugement professionnel structuré. Il a offert la formation SAPROF au Canada, en France, en Suisse et en Belgique à plusieurs dizaines de reprises
PAQUET-CLOUSTON, Masarah
Professeure adjointe
TANNER, Samuel
Directeur de département, Professeur titulaire, Chercheur
- Impact des technologies sur la sécurité
- Extrémisme violent
- Mouvements sociaux
- Cultures numériques et sécurité
- Nouvelles technologies
- Technologies de l'information
- Contrôle, organisations et cultures technologiques
- Prévention de l'extrémisme violent
Après avoir travaillé sur les violences de masse dans les conflits armés, ainsi que sur les déploiements policiers dans le cadre des opérations internationales de paix, mes intérêts actuels de recherche se concentrent sur deux axes en particulier.
Le premier porte sur les relations entre médias, communication et sécurité. Plus spécifiquement, je m'intéresse au rôle, aux politiques, aux pratiques et aux impacts de l'utilisation des nouvelles technologies de l'information et de la communication en lien à la sécurité. Par exemple, quels usages sont faits des médias sociaux par les agences d'application de la loi? Quels impacts ont-ils sur les pratiques policières? Plus globalement, quelle(s) contribution(s) les culture(s) numérique(s) ont-elles en matière de gestion de la sécurité intérieure et transnationale?
Le second axe de recherche porte quant à lui sur l'extrémisme violent. Après avoir exploré cette question dans le cadre de la participation de bandes armées dans les violences de masse, mon intérêt se tourne désormais vers le contexte domestique et la violence dite «extrémiste». Plus spécifiquement, je travaille sur l'extrême-droite au Canada, sa cartographie, ses configurations, les trajectoires de ses membres et les liens qu'elle entretient avec d'autres acteurs à l'étranger et surtout l'usage qu'elle fait des nouvelles technologies de communication (médias sociaux, plateformes numériques).